On s’éloigne des faubourgs, l’emprise humaine est partout, ces paysages sont façonnés. On y trouve des arbres en ligne, des champs rayés, des haies, un chemin, un château d’eau. Ce sont des paysages humains, jamais bien loin des villes.
La beauté de ces paysages périurbains est frappante. Cette beauté n’est perceptible qu’à certaines heures, sous certains cadrages : un pylône en plein champ est beau quand sa forme plastique est révélée par les arbres environnants. Glissement du pylône aux arbres, sentinelles en plein champ, personnages silencieux en attente.

Neige	La ville, au loin	Le monde dans un miroir